Aujourd’hui, je suis ravie de vous présenter une invitée très spéciale, Véronique Boyce, qui a connu une transformation incroyable grâce à notre programme de biohacking. À 46 ans, Véronique a perdu plus de 35 livres et a retrouvé une santé exceptionnelle. Elle est ici pour partager son parcours et ses conseils pour aider d’autres femmes à atteindre leurs objectifs de santé et de bien-être.
La confiance en soi : un élément clé
Véronique, tu as mentionné que beaucoup de femmes manquent de confiance en elles. Peux-tu nous parler de ton expérience à ce sujet?
Véronique : Absolument, Alie. Je pense que beaucoup de femmes se sentent coincées dans leur rôle de mère ou de partenaire, et elles oublient de prendre soin d’elles-mêmes. J’ai longtemps mis mes enfants et les autres en priorité, en me disant que je m’occuperais de moi plus tard. Mais en réalité, cela m’a fait perdre de vue qui j’étais. J’ai dû apprendre à me donner la permission de prendre du temps pour moi, même si cela me faisait sentir coupable au début.
L’importance du « me-time »
Tu as mentionné que cela t’a pris trois mois pour vraiment te concentrer sur toi-même. Qu’est-ce qui t’a aidée à faire ce changement?
Véronique : Travailler avec ton équipe a été essentiel. J’ai réalisé que je suis une personne à part entière, pas seulement une mère. J’ai commencé à prendre des bains, à méditer, et à me donner le droit d’être seule, même si cela me semblait égoïste au début. Ce temps pour moi m’a permis de me reconnecter avec mes besoins et mes désirs.
La transformation physique et mentale
En parlant de transformation, comment ta perte de poids a-t-elle influencé ta santé mentale?
Véronique : Au début, je pensais que perdre du poids serait ma priorité. Mais en réalité, ce qui a vraiment changé, c’est ma santé mentale. J’ai appris à m’aimer et à être patiente avec moi-même. Mes filles ont même remarqué que j’étais plus heureuse et plus présente. C’était un cadeau supplémentaire que je n’avais pas anticipé.
Gérer le stress et les émotions
Tu as également mentionné que la gestion du stress et des émotions était un aspect important de ta transformation. Peux-tu nous en dire plus?
Véronique : Oui, absolument. Avant de commencer le programme, je prenais sur moi les émotions des autres. Si mon mari ou mes enfants avaient des problèmes, je me sentais responsable de les résoudre. Grâce à votre programme, j’ai appris à prendre du recul et à gérer mes propres émotions. Cela a vraiment amélioré notre dynamique familiale.
L’impact sur la famille
Comment ta transformation a-t-elle influencé ta relation avec tes enfants et ton mari?
Véronique : C’est incroyable de voir à quel point cela a rapproché notre famille. Mes filles ont commencé à faire attention à leur santé et à leur bien-être, inspirées par mon parcours. Mon mari a également perdu 25 livres en suivant un plan alimentaire que j’ai proposé. Nous sommes devenus des cheerleaders l’un pour l’autre, et cela a renforcé notre relation.
Les défis de l’alimentation
Tu as mentionné que les deux premiers mois ont été difficiles en ce qui concerne l’alimentation. Qu’est-ce qui a été le plus difficile pour toi?
Véronique : Au début, j’étais habituée à des repas rapides et faciles, comme des filets de poulet panés. Passer à une alimentation plus saine et équilibrée a été un défi. J’ai dû apprendre à cuisiner différemment et à peser mes aliments pour m’assurer que je respectais mes objectifs. Cela a demandé de la constance, mais j’ai fini par m’y habituer.
Les croyances limitantes
As-tu eu des croyances limitantes concernant ta santé ou ta perte de poids avant de commencer le programme?
Véronique : Oui, j’avais des craintes liées à la génétique, surtout en raison de l’histoire de ma mère et de mes tantes. Je pensais que je n’avais pas le contrôle sur ma santé. Mais en travaillant sur moi-même et en apprenant le biohacking, j’ai réalisé que je pouvais changer ma trajectoire. Je ne suis pas condamnée par ma génétique.
Le biohacking comme solution
Qu’est-ce qui t’a le plus marqué dans le concept de biohacking?
Véronique : Le biohacking m’a ouvert les yeux sur le fait que nous avons le pouvoir de changer notre santé et notre bien-être. Grâce à l’épigénétique, j’ai compris que je pouvais influencer ma santé par mes choix de vie. Cela m’a donné une nouvelle perspective et une motivation pour continuer à avancer.
Un message pour les femmes
Pour conclure, quel message aimerais-tu transmettre aux femmes qui nous écoutent et qui souhaitent améliorer leur santé?
Véronique : Je veux leur dire qu’il n’est jamais trop tard pour commencer. Prenez le temps de vous occuper de vous-même, même si cela vous semble égoïste. Vous méritez d’être heureuses et en santé. Ne laissez pas les croyances limitantes vous retenir. Vous avez le pouvoir de changer votre vie, tout comme je l’ai fait. Inspirez-vous les unes les autres et n’oubliez pas que chaque petit pas compte.
Merci, Véronique, pour ton partage inspirant et tes conseils précieux. Je suis convaincue que ton histoire touchera de nombreuses femmes et les encouragera à prendre leur santé en main. Ensemble, nous pouvons vivre en santé jusqu’à 180 ans!